A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 36

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Sans cela qui parlerait encore d'un pianiste mort, par cette
belle journée d'été.
WAHL. Avez-vous jamais vu une fille d'un esprit aussi profond, mes
amis? C'est encore une de ses pirouettes sur la corde tendue
de la philosophie, comme son pauvre père se plaisait à dire.
D'Euwe garde
DERIC. Ungénéral seulement faire l'attentia de ne pas tomber, Erna...
Paul Kreindl (vienne du tennis avec leurs requettes)
Adèle
Mme GENIA, OITTO, Mme VAHL, FREDERIC, FRNA
(salutations)
(Jolie, rende, vêtie de blanc, ceinture rouge, cravate rouge).
Qu'est-ce que c'est, nous ne jouons plus?
KREINDL. (baise la main de Mme Wahl)
DERIC. Vous auriez pu jouer à deux pendant ce tempe.
3E. Mais je joue trop mal pour lui.
Comment donc, madame
(larmoyant)
Bientôt personne ne jouera
assez mal pour moi. Je joue vraiment comme un cochon. O Pardon.
Mais c'est vrai. Je ne sais comment cela se fait. Je crois qu'on
m'a jeté un sort. A moins que ce soit seulement parce que j'ai
une raquette neuve...... Excusez-moi messieurs, mesjames, je cours
à la maison et je rapporte ma vieille (Il prend congá),
(Les autres rient)
DERIC. Pourquoi riez-vous? Il prend au moins cela au sérieux, Paul
C'est l'essentiel. Qu'il s'agisse de tennis, de patinage, de
peinture ou de médecine.- Je trouve qu'on bon joueur de tennis
est un homme de plus grande valeur qu'un médioore poëte ou un mau¬
vais générale. N'ai-je pas raison? - (A Otto).