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G.F.P.
f. in. k.
Qui est-ce qui l'a pinoée?
JOSEPHINE
Qui?Son amant,tiens! Elle le croyait au théatre,mais il avait des dou¬
tes, il reviant, frappe à la porte : fermée.Alors lui, il flanque un
Ooup de pied dedans,et la voilà sautée!
M-lle S CHUTZ (ébahie)
Quelle force!
JOSEPHINE
Que veux-tu,ma petite,quand un homme est jaloux,il est capable de
tout!... et qui penses-vous qu'il a trouvé chez elle?
G.H.F.P
BAUDOUIN
Le noble guerrier!
selk ikk
Ca m'étonnede la part de la Ridel.
Le Comte
JOSEPHINE
Ca t'étonne? Eh bien,moi pas. Il ne m'a pas fallu longtemps,alles,pour
savoir ce qu'elle vaut!Màs s'est toujours la mame histoire ;quand on
est un peu gais,on vous erie après,tandis qu'une personne comme la
Ridel tout le monde la oroit....! ah,e'est vraiment trop bête.
P I N K ( ironique)
C’est bien, Joséphine, c'est bient On sait que tu es la seule qui vaut
quelque chose., mais enfants... commençons,il est bientôt midi!
B A U D O U N (prenant. les deux femmes par le bras
"Allons enfants de la patrie.“ (ile disparaissent par la porte des
tistes)
scene 9.
neue partie aussi un
ENDERLE, FINK.
PINK (s'apersevant qu'Endarlé reste toujours assis sur
le bano, d'un air morne)
Eh bien,Endelé,et vous?
ENDERLE
Laisses-moi, Fink, j'attends le directeur.