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MAUER.- D'ailleurs - l'histoire est classée.
GENIA.- (Continuant'sourire tranquillement)
Vous en ôtes certain?
MAUER.- Je puis voua l'affirmer, Cenin.
CENIA. - Frédéric vous a vraiment dit.....
Maure. - Non; il ne parle jamais de ces choses-là. Mais à quoi servi¬
rait d'avoir un diagnostic sûr? Il y a d'ailleurs pas mal de
temps que la choses est finie. Je vous assure, madame Genia,
que Frederic est positivement toujours au bureau, ou à l'usine.
Vous le connaissez n'est pas! Il lui faut conquérir le monde
avec ses nouvelles lampes incandescentes, si non elles ne l'in-
téressernient plus. Alors madame Natter plasiste (2) Uns rudut lui.
Vous êtes rassurant.
Il est toujours rassurant d'entendre cela.
GENIA
lieu de nous inquiéter
Il n'y avait vraiment pas l'un motif d'inquiétude. La pauvre
MUE
Adèle est biennla plus inoffensive personne du monde. Si on ne
savait pas par hasard -
Ce n'est pas d'elle que
Zülf.- Oh, elle! Heils ne peut venir aucun danger. Mais, malgré ses
dehors aimables et paisibles, je tiens Monsieur Natter pour un
homme brutal, et même un peu sournois. Et parfois j'ai été
inquière pour Prédéric.- Je vous l'assure - inquiète comme pour
vnd sils
maladalte, qui s'engagerait dans de pe
e e
un fils, - un d
rilleuses a blntures
(S'assied en face d'elle)
Il est intéressant de voir
comment vousdenvisagez ces choses. On pourrait presque croire
que les femmes, qui sont vraiment nées pour la mternité, res¬
Barent etre aussi des mères
von d’être saternelles aussi pour leurçmari,
sede
ne me suis pas toujours sentie si cnater.
n'i pas toujours eu cette
de le devenir, cher doeteur. Je
adresse
nelle, mon cher docteur
Dans les premiers temps, j'affois plutôt sur le
humeurs
du'egew.
curie.
point de le quitter.
MAUER.- D'ailleurs - l'histoire est classée.
GENIA.- (Continuant'sourire tranquillement)
Vous en ôtes certain?
MAUER.- Je puis voua l'affirmer, Cenin.
CENIA. - Frédéric vous a vraiment dit.....
Maure. - Non; il ne parle jamais de ces choses-là. Mais à quoi servi¬
rait d'avoir un diagnostic sûr? Il y a d'ailleurs pas mal de
temps que la choses est finie. Je vous assure, madame Genia,
que Frederic est positivement toujours au bureau, ou à l'usine.
Vous le connaissez n'est pas! Il lui faut conquérir le monde
avec ses nouvelles lampes incandescentes, si non elles ne l'in-
téressernient plus. Alors madame Natter plasiste (2) Uns rudut lui.
Vous êtes rassurant.
Il est toujours rassurant d'entendre cela.
GENIA
lieu de nous inquiéter
Il n'y avait vraiment pas l'un motif d'inquiétude. La pauvre
MUE
Adèle est biennla plus inoffensive personne du monde. Si on ne
savait pas par hasard -
Ce n'est pas d'elle que
Zülf.- Oh, elle! Heils ne peut venir aucun danger. Mais, malgré ses
dehors aimables et paisibles, je tiens Monsieur Natter pour un
homme brutal, et même un peu sournois. Et parfois j'ai été
inquière pour Prédéric.- Je vous l'assure - inquiète comme pour
vnd sils
maladalte, qui s'engagerait dans de pe
e e
un fils, - un d
rilleuses a blntures
(S'assied en face d'elle)
Il est intéressant de voir
comment vousdenvisagez ces choses. On pourrait presque croire
que les femmes, qui sont vraiment nées pour la mternité, res¬
Barent etre aussi des mères
von d’être saternelles aussi pour leurçmari,
sede
ne me suis pas toujours sentie si cnater.
n'i pas toujours eu cette
de le devenir, cher doeteur. Je
adresse
nelle, mon cher docteur
Dans les premiers temps, j'affois plutôt sur le
humeurs
du'egew.
curie.
point de le quitter.