A245: Französischsprachige Übersetzungen IV Les Morts Ne Parlent Pas, Seite 10

Parle-tu sérieusement?
Cont à fait.
En vois bien, que c'est toujours toi qui gâtes ces
quelques heures que nous avons et non moi
Om, om, tu as raison, Viens, allons rejoindre
la voiture.
Elle s'attache à son bras. Non dit-elle avec
Andresse je ne veut pas, je ne vient pas être
renvoyée ainsi
Elle l'attire à elle et l'embrasse longuement.
Où irions-nous si nous allions toujours ainsi
devant nous a
Ce chemin mène à Pragne, ma chérie
Nous n'irons pas si loin, dit-elle en sauriant,
mais encore un peu plus loin par là,
si tu vens. Elle montrait le sombre espace.
Ché! cocher, appelé le jeune homme. Pas
de réponse. Il récitéra plus fort son appel
La voiture allait son même train.
Franz cournt après et vit que le cocher
s'était endormi. Autoris répétés, il s'éveilla
Nous allez continuer de suivre tout droit
la route, - m'avez-vous compris?
- C'est bien M.t sieur....
Tous deux entrèrent dans la voiture. Le
cocher fonetta les chevaux à tour de bras
cent-ci s'élancèrent comme empartis sur
la route bonense. Dans la voiture les
dent jeunes gens se tenaient serrés dans
les bras l'un de l'autre pendant qu'ils
étaient jetés à tort et à travers par la seconde.
-N'est-ce pas beau aussi ainsi? murmure
Emma presque sur la bouche de son ami.
A peine avait-elle dit ces mots, qu'elle eut
l’effet comme si la voiture santait en
l'air - elle se sentit lancée voulut se retenir
de la main elle ne trouva que le vide, elle
croyait tourner d'une vitesse vertigineuse
qui la força à fermer les yeux - sondain
elle se sentit étendue à terre et un silence
stroce et lourd pèser sur elle, comme si
elle était éloignée du monde et tout à fait
seule. Ensuite, elle entendit confusément
toute sorte de bruit, les fers des chevaux
qui frappaient la terre tout près d'elle
des sourds gémissements, mais elle ne voyait