Son mari la regarde longuement - sais-tu
que tu t'es assanpie et
Et quoi?
Puis tu as crié
- Nraiment
Comme on crie dans un rêve, quand
on est appressé
As-tu rêve?
Je ne sais pas, je ne saïs rien.
Elle voit vis à vis dans la glace un
visage souriant - saurire cruel qui
décompose les traits. Elle sait que
c'est le sien et pourtant elle frissonne
en le regardant... elle perçoit qu'il
devient raide, elle ne peut pas mon
voir la bouche elle sait: ce rire
sera sur ses lèvres aussi longtemps
qu'elle vivra. Elle essaye de crier
Alors, elle sent deux mains se poser
sur ses épanles et elle voit comme
entre son visage et celui de la glace
la face de son mari se presse; ses
yens questionnent et menacent,
s'enfoncent dans les siens. Elle sait
si elle ne supporte pas cette dernière
épreuve, tout est perdu. Et elle sent
revenir sa farce ses fraits ses membres.
plient abeissent, elle peut en faire
ce qu’elle vent. Mais elle doit profiter
de ce moment, sinon, c'est trop tard
De ses dent mains, elle saisit celles de
son mari qui pesent encore sur ses
épaules, elle l'attire à elle; le regarde
avec tendresse et sérénité
Pendant qu'elle sent les lèvres de
son mari se passer sur son front
elle pense : en effet :.. un mauvais
rêve. Il ne le dira a personne
il ne se vingera pas, non jamais.
il est mort... il est certainement mort...
et les morts ne parlent pas.
Pourquoi dis-tu ça? c'est son
mari qui parle. Elle s'épouvante
Qu'ai-je donc dit? Et il lui semble
que coup sur coup elle a tout
qu'elle a
raconte à haute voix
que tu t'es assanpie et
Et quoi?
Puis tu as crié
- Nraiment
Comme on crie dans un rêve, quand
on est appressé
As-tu rêve?
Je ne sais pas, je ne saïs rien.
Elle voit vis à vis dans la glace un
visage souriant - saurire cruel qui
décompose les traits. Elle sait que
c'est le sien et pourtant elle frissonne
en le regardant... elle perçoit qu'il
devient raide, elle ne peut pas mon
voir la bouche elle sait: ce rire
sera sur ses lèvres aussi longtemps
qu'elle vivra. Elle essaye de crier
Alors, elle sent deux mains se poser
sur ses épanles et elle voit comme
entre son visage et celui de la glace
la face de son mari se presse; ses
yens questionnent et menacent,
s'enfoncent dans les siens. Elle sait
si elle ne supporte pas cette dernière
épreuve, tout est perdu. Et elle sent
revenir sa farce ses fraits ses membres.
plient abeissent, elle peut en faire
ce qu’elle vent. Mais elle doit profiter
de ce moment, sinon, c'est trop tard
De ses dent mains, elle saisit celles de
son mari qui pesent encore sur ses
épaules, elle l'attire à elle; le regarde
avec tendresse et sérénité
Pendant qu'elle sent les lèvres de
son mari se passer sur son front
elle pense : en effet :.. un mauvais
rêve. Il ne le dira a personne
il ne se vingera pas, non jamais.
il est mort... il est certainement mort...
et les morts ne parlent pas.
Pourquoi dis-tu ça? c'est son
mari qui parle. Elle s'épouvante
Qu'ai-je donc dit? Et il lui semble
que coup sur coup elle a tout
qu'elle a
raconte à haute voix