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Kakadu
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gruene
Der
9. 3 enenteten entetchte ehetee
geighen
uen dlee
Paßis
— 4
Celam
4
Enfin, la soirée se termina par une cuvre étrange,
quelque peu ahurissante môme, mais de belle allure et
dart incontestable.
La scène se passs, le jour möme de la prise de la Bas¬
d’un cabaret louche, on des gen¬
tille, dans
d’honnestes dames en quête d’émo¬
tilshommes
nent se donner T’illusion de fréquen¬
tions malt
ssins et voleurs.
ter souten
tdes comédiens, sans engagement,
En réalit
en se déguisant en bandits, de donner
gont char
à Taristocratique clientèle ces sensations délicates.
vollà que la représentation coutumière, on on si¬
uie les colères et les menaces, est troublée par l’enva¬
dans T’ivresse de la vic¬
du cabaret ou arrive
que le drame réel
qui prit la Basti
on de tont à Theure.
l’ignob
fern
ns d’épouvante qui
vrais
6
lbe sur une melée
rideau
secouent
fern
générale on
est 1
Matrat, Degeorge,
MM. Marquet,
joué très
Mmes Jennne Lio
nimt
remarquablement cette Gue
de M
FEU
INE WILLE BETRLULTS
7 novembre (par vereire spécial).
GoNsTaN
ie & détruit 6
#s ie vilayet d’Acdin, un
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cent boutiques, ainsi que les
trois e
get ceux de la Banque agricole.] pian
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UI. U. 907-