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une légère pause pendant laquelle elle regarde le ciel)
Vous.
pouvez aussi relever la marquise.
LA FERDE DE CHAMBRN. (pendant qu'elle enlève le service à the et relè
ve la marquise
Dois-je apporter un vêtement à madame? Il fait
fait plus frais.
NIA.- Oui. Don mantonu blano.
(Elle respire une rose et continue sa
promenade le long de la véranda vers le fond).
LA FERTE DE CH. BÆE.- (a relevé complètement la marquise et enlevé
les tasses; elle s'éloigne avec le plateau).
lème WaHl et ERA. (viennent du fond par la rue, le long de la clôture
vers l'entrée).
GENIA. (continue sa promenade le long de la pelouse dans la direction
de l'entrée).
Müe WaH, et EHÎL (saluent déjà du dehors par une inclinaison de tête).
GENIA (fait légère ent signe de la main, hâte un peu le pas et arrive
en même temps qu'elles à la porte).
sime l'AIL & trav.l (toutes deux en costume tailleur sombre, s'arrêtent).
Mme WAHL (svelte, re uante, 45 ans environ, distinction voulue. Elle
nasille un peu et ne parle pas une langue très ristocrati-
que. Regard et parole tantôt trop las, tantô trop animés.
Pendant qu'elle parle, elle regarde le plus souvent à côté
de son interlocuteur, et seule ent quand elle a fini de
parler, elle le regarde en face, d'une regard amicalement
interrogateur, comme pour s'assurer de l'impression produite)
ERNA. (plus grande qua sa mère, svelte, decidée sans ja ais aucune
hésitation, mais sans impertinence. Kemard ferme et droit.)
GR PIA (leur tend anicalement la main) Vous avez fait un bon voyage?
Mme VAHL.- Comme vous voyez, chère madame Genia. Il a fait un orage
affreux.
GENIA.- Par ici, l'orage est fini depuis une heure.
È�¬ Vous avez eu bien raison de rester chez vous. Au cimetière
nous étions complète ent embourbés. J'y suis allée seulement pour
faire plaisir à Erna. Il aurait été bien suffisant à mon avis
d'assister à la cérémonie à l'église! Je vous demande un peu à
une légère pause pendant laquelle elle regarde le ciel)
Vous.
pouvez aussi relever la marquise.
LA FERDE DE CHAMBRN. (pendant qu'elle enlève le service à the et relè
ve la marquise
Dois-je apporter un vêtement à madame? Il fait
fait plus frais.
NIA.- Oui. Don mantonu blano.
(Elle respire une rose et continue sa
promenade le long de la véranda vers le fond).
LA FERTE DE CH. BÆE.- (a relevé complètement la marquise et enlevé
les tasses; elle s'éloigne avec le plateau).
lème WaHl et ERA. (viennent du fond par la rue, le long de la clôture
vers l'entrée).
GENIA. (continue sa promenade le long de la pelouse dans la direction
de l'entrée).
Müe WaH, et EHÎL (saluent déjà du dehors par une inclinaison de tête).
GENIA (fait légère ent signe de la main, hâte un peu le pas et arrive
en même temps qu'elles à la porte).
sime l'AIL & trav.l (toutes deux en costume tailleur sombre, s'arrêtent).
Mme WAHL (svelte, re uante, 45 ans environ, distinction voulue. Elle
nasille un peu et ne parle pas une langue très ristocrati-
que. Regard et parole tantôt trop las, tantô trop animés.
Pendant qu'elle parle, elle regarde le plus souvent à côté
de son interlocuteur, et seule ent quand elle a fini de
parler, elle le regarde en face, d'une regard amicalement
interrogateur, comme pour s'assurer de l'impression produite)
ERNA. (plus grande qua sa mère, svelte, decidée sans ja ais aucune
hésitation, mais sans impertinence. Kemard ferme et droit.)
GR PIA (leur tend anicalement la main) Vous avez fait un bon voyage?
Mme VAHL.- Comme vous voyez, chère madame Genia. Il a fait un orage
affreux.
GENIA.- Par ici, l'orage est fini depuis une heure.
È�¬ Vous avez eu bien raison de rester chez vous. Au cimetière
nous étions complète ent embourbés. J'y suis allée seulement pour
faire plaisir à Erna. Il aurait été bien suffisant à mon avis
d'assister à la cérémonie à l'église! Je vous demande un peu à