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pour toi d'aller retrouver ton fils, que de... que de partir
d'ioi.
NIA. Je reyse que tu ne souffriras pas beaucoup de mon absence...
Mais à quoi bon parler de cela. (Elle se lève)
REDERIC.- Cu'y a-t-il?
KNIA.- Rien. Je vais dans le jardin (Elle commence à descendre les
marches).
EDERIO.- (la suit du regard)
ENIA.- (lentement le long de la pelouse vers l'arrière).
EDERIC.- (descend de la véranda, encore avec son pardessus mais il
laissé son chapeau. Il s'arrête près d'un rosier,
respire une rose)
Elles n'ont plus de parfum cette an¬
née. Je ne sais pas pourquoi. Chaque année elles deviennent plus
belles mais elles ont perdu l'habitude d'enbaumer.
NIA.- (lentement vers l'arrière, les mains derrière le dos).
EDERIC. - (après un silence) Ecoute - Conis.
NIA.- Je t'écoute.
EDERIC.- Viens plus près de moi.
NIA.- (S'approchant lentement) Me voilà.
EDERIC.- Ecoute, Genia. veux-tu me dire (Il la regarde tranquille-
ment dans les yeux.
dois probablement savoir pourquoi Korsakow s'est tué
MIA.- (tranquillement) ue signifie cette question? Tu sais que je
n'ai pas été moins étonnée que toi.
EDERIC.- On a eu cette impression en effet. Alors dis-moi, pourquoi
veux-tu me quitter... comme ça du jour au lendemain y
KNIA.- Je ne veux pas te quitter. Je veux être près de Percy. Et
non pas du jour au lendemain, mais en automne seulement. Pour
aller avec Percy.
EDERIC.- Oui, sans oeprétexte ce serait trop surprenant.
pour toi d'aller retrouver ton fils, que de... que de partir
d'ioi.
NIA. Je reyse que tu ne souffriras pas beaucoup de mon absence...
Mais à quoi bon parler de cela. (Elle se lève)
REDERIC.- Cu'y a-t-il?
KNIA.- Rien. Je vais dans le jardin (Elle commence à descendre les
marches).
EDERIO.- (la suit du regard)
ENIA.- (lentement le long de la pelouse vers l'arrière).
EDERIC.- (descend de la véranda, encore avec son pardessus mais il
laissé son chapeau. Il s'arrête près d'un rosier,
respire une rose)
Elles n'ont plus de parfum cette an¬
née. Je ne sais pas pourquoi. Chaque année elles deviennent plus
belles mais elles ont perdu l'habitude d'enbaumer.
NIA.- (lentement vers l'arrière, les mains derrière le dos).
EDERIC. - (après un silence) Ecoute - Conis.
NIA.- Je t'écoute.
EDERIC.- Viens plus près de moi.
NIA.- (S'approchant lentement) Me voilà.
EDERIC.- Ecoute, Genia. veux-tu me dire (Il la regarde tranquille-
ment dans les yeux.
dois probablement savoir pourquoi Korsakow s'est tué
MIA.- (tranquillement) ue signifie cette question? Tu sais que je
n'ai pas été moins étonnée que toi.
EDERIC.- On a eu cette impression en effet. Alors dis-moi, pourquoi
veux-tu me quitter... comme ça du jour au lendemain y
KNIA.- Je ne veux pas te quitter. Je veux être près de Percy. Et
non pas du jour au lendemain, mais en automne seulement. Pour
aller avec Percy.
EDERIC.- Oui, sans oeprétexte ce serait trop surprenant.