A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 28

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REDRIC.- Ah, tu le sais par coeur. "Ce que je désigne par le mot
insensé de fidelité, n'est au fond que l'espoir qu'il vous
" revivndra un jour".
NIA.- C'était sa manière de voir. Tu sais que je ne l'espère pas
et que je ne souhaite rien.
EDERIC.- (la regarde, puis) "Quand je vous ai parle hier, j’étais
déjà décidé". Hier?... Il était là dimanche? Oui, c'est vrai
vous vous promeniez dans l'allée de long en large... oui...
(11 11t)
Quand je vous ai parlé hier, je savais déjà
que ma décision dépendrait d'un oüi ou d' un NON de vous. Je
ne v us l'ai pas dit car je craignais que si vous aviez soup-
çonne qu'il me fut tout à fait impossible de continuer à vivre
dans vous... " Il écrit un peu longuement M. Alexis Korsakow...
(On entend la musique du casino un peu assourdie)
ne voulais pas devoir mon bonheur à une obligation ni à une
sorte de contrainte, c'est pourquoi... "Aurais-tu dit OUI si
tu avais nu qu'il s'agissait de la vie ou de la mort y
IA.- Si je l'avais SU...? Comment peut-on savoir... Je ne l'aurais
pas cru. Je ne l'aurais certainement pas cru.
DERIC.- Je veux te poser la question d'une autre manière.
al KREINDL (elegant, jeune, mis à la dernière mode, parait à la
porte).
Bonsoir! Je vous présente mes hommages, madame
DRRIC.- Qu'est-oer... ah, Paul, c'est vous! (Il monte)
L. - Excusez-moi (Il s'approche)
Je ne veux pas vous déranger. Je
suis envoyé du casino par Mme von Wahl et made oiselle Erna, le
lieutenant von Aigner et le capitaine Stanzides...
DERIC.- Il sort déjà?