A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 106

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PAUL.- Mes compliments M. Hofreiter.
ERNA. - Bonsoir Frédéric (Poignée de min).
FREDERIO.-Eh bien comment cela va-t-il?
PAUL.- Mademoiselle Erna m'a encore battu.
FREDRIC.- Eh bien, o'était encore beau au Völser Weiher?
ERNA.- Oui, je vous assure, très beau, môme sans vous. Vraiment vous
n'avez pas été gentil de disparaitre aussi rapidement. A propos,
merci pour les cartes... Vous avez encore fait de belles par-
ties?
FREDERIC.- Aujourd'hui votre célébrité s'étale dans les journaux, Erna.
Mme VAHL.- Nous l'avons déjà lu.
FREDERIC.- Ah oui. Vous l'avez déjà lu - cette feuille est arrivée
icir- Un journal bien intéressant, n'est-ce pas?
(silence L’em¬
barras des autres l'amuse)
C'était vraiment beau à la
Tour Aigner, savez-vous Otto. Mais où est-il donc...1
(Otto est
un peu sur le côté avec Mme Natter)
J’ai un souvenir
à vous transmettre, enfin pas précisément un souvenir. J'ai ren-
contre votre père.
OTTO.- Madame Hofreiter me l'a raconté.
FREDERIC.-C'est dommage que vous pariez demain. Votre père doit venir
passer quelques jours à Vienne.
OTTO.- Vous savez bien M. Hofreiter, que nous n'avons jamais eu de rap-
ports, mon père et moi.
FRED RIC.- Cela pourrait encore se produire. Cela devrait être. Vous
ne devriez pas partir en mer pour si longtemps... sans avoir revu
votre père.... ne croyez-vous pas?
PITO.- Oui, vous avez peut-être raison - mais maintenant il est trop
tard.