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ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre!... Frederic.
FREDERIC. - Pourquoi te raconterni-je de pareilles choses si ce n'était
pas vrai... Sur quoi faut-il te le jurer? Sur le saint lac de
Völs?
ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre...! Mon chéri!
FRE FRIC.- Chut, chut. (Il va vers la porte de la maison).
MAUER. - (sort de la maison) Salut, Frederic. Bonjour, mademoiselle
Erna.
FREDERIO.- Salut, Mauer.
ERNA.- (tranquille) Bonjour, docteur.
MAUER.- (tout à fait simplement) Vous êtes de retour depuis longtemps
mademoiselle Erna?
ERNA.- Depuis deux jours... (A Frédéric) Je crois que vous avez à
purler avec le docteur. Au revoir. ( Elle va vers le tennis.)
MAUER. FREDERIC
MAUER.- Tu m'as écrit. Je suis venu.
FREDERIC.- Je te re mercie encore une fois d'être venu. J'espère que je
ne t'ai dérangé en rien d'important.
MAUER.- Tu m'écris que tu as besoin de mes conseils. J'ai pense que
tu étais malade.
FREDERIC.- (le regarde) Ah oui! ce n'est pas le médecin que j'ai appe¬
le mais l'ami.
MAUER. - L'ami..K eh bien, je suis là.
racon tar.
FRERIC. - Il s'agit d'un stupide, que tu es peut-être déjà lu
ou dont tu as entendu parler.
MAUER.- Quel racontar?
FRErBRIO.- Que Korsakow...
MAUER.- Eh bien?
FREDERIC.- Que Korsakow a été la victime d'un duel américain.
ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre!... Frederic.
FREDERIC. - Pourquoi te raconterni-je de pareilles choses si ce n'était
pas vrai... Sur quoi faut-il te le jurer? Sur le saint lac de
Völs?
ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre...! Mon chéri!
FRE FRIC.- Chut, chut. (Il va vers la porte de la maison).
MAUER. - (sort de la maison) Salut, Frederic. Bonjour, mademoiselle
Erna.
FREDERIO.- Salut, Mauer.
ERNA.- (tranquille) Bonjour, docteur.
MAUER.- (tout à fait simplement) Vous êtes de retour depuis longtemps
mademoiselle Erna?
ERNA.- Depuis deux jours... (A Frédéric) Je crois que vous avez à
purler avec le docteur. Au revoir. ( Elle va vers le tennis.)
MAUER. FREDERIC
MAUER.- Tu m'as écrit. Je suis venu.
FREDERIC.- Je te re mercie encore une fois d'être venu. J'espère que je
ne t'ai dérangé en rien d'important.
MAUER.- Tu m'écris que tu as besoin de mes conseils. J'ai pense que
tu étais malade.
FREDERIC.- (le regarde) Ah oui! ce n'est pas le médecin que j'ai appe¬
le mais l'ami.
MAUER. - L'ami..K eh bien, je suis là.
racon tar.
FRERIC. - Il s'agit d'un stupide, que tu es peut-être déjà lu
ou dont tu as entendu parler.
MAUER.- Quel racontar?
FRErBRIO.- Que Korsakow...
MAUER.- Eh bien?
FREDERIC.- Que Korsakow a été la victime d'un duel américain.