A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 116

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tendu jusqu'à une heure et demie. A une heuie et deuie la fenêtre
s'est ouverte, un monsieur est descendu, a disparu un moment pour
moi dans l'obscurité du jardin; j'entends la porte du jordin
s'ouvrir, et aussitôt passe près de moi la silhouette élegante
de l'Enseigne de Vaisseau Otto von Rigner.
MAUER. - Tiens. Et qu'as-tu fait alors?
FRÉDERIC.- Je me suis couché sur la pelouse.
MAUER.- Tu l'étais déjà.
FRUERIC.- C'est juste. Mais je me suis arrangé plus commodément, parce
que je n'avais plus à guetter quelqu'un. Et j'ai merveilleusement
dormi jusqu'à sept heures du matin. C'est vraiment enquis de dor-
mir en plein air par une belle nuit d'été. On me l'avait vanté
il n'y a pas longtemps.
MAUER.- Tu ne penses pas j'espère, t'enprendre à Genia ou à lui. La
seule chose que tu puisses et doives fairez - c'est une fin nette
FREERIC.- Qui te parle de fin?
MAUR. - Cela se comprend. Tu peux d'ailleurs le faire sans bruit. Tu
n'as qu'à partir pour l'Amérique un peu plus tôt que tu en avais
l'intention.
FREDERIu.- Genia viendra avec moi en Amérique.
AU R.- Ah -?
FREDERIC. - Oui.
MAUER.- (haussant les épaules) Tu me permettras de prendre cotte commu-
nication pour la dernière preuve de ta confiance, jusqu'à nouvel
ordre. Maintenant......
NATTER (arrive).- Oh, bonsoir, docteur Hausr, comment-allez-vous?
Mon cher Hofreiter, je voulais vous demander, parce que nous
n'allons plus pouvoir rester longteurs...
MAUER.- Tu me permets d'aller dire bonsoir à ta femme....