-eb-
dis que je m'en fous. Et puisque nous en sommes là,je dois vous avouer
quelle n'aime pas voir de collages entre mes pensionnaires.De temps en
temps, passagèrement... ça c'est votre affaire ; mais pour de bon, non.
Si je voulais tolérer ça, j'engagerais des gens mariés,ça revient meil-
leur marché ; mais je désire que le public ait toujours le sentiment
que mes comédiens et surtout mes commédiennes sont - comment dirais-je
indépendants.
FINK
Monsieur le directeur a parfaitement raison. Allons répéter,Enderlé.
SOHNEIDER (en apercevant Anna Ridel qui vient du
fond (Et là-dessus, au revoir messieurs. (il se tourne de l’autre eô-
te; - Fink et Enderlé entrent dans le théâtre )
SC E N E 11.
SCHNEIDER, ANNA RIEDEL
S CH N E I D E R (saluant Anna aveo une déférence laquel¬
le on n'est pas habitue de sa part)
Mademoiselle!
ANNA ( très froide)
Je vous demande pardon, mais je dois encore aller chercher quelques me-
nus objets qui se trouvent dans ma loge.
SCHNEIDER
Laisses tout cela, chère mademoiselle Rädel,car je n'ai pas l'intention
de résilier votre engagement.
ANNA
Il l'est déja,je pense.
SCHNEIDER
Non, nou mademoiselle.Vous resterez chez nous,et,va sans dire que vous
continuerez à toucher votre traitement entier.
ANNA (riant)
Adieu.
SCHNEIDER
Je vous en prie,ne faites pas des bêtises ; peut-être trouves-vous que
Je ne vous paie pas assez l'En bien, vous augmente de 200, 300... 400
dis que je m'en fous. Et puisque nous en sommes là,je dois vous avouer
quelle n'aime pas voir de collages entre mes pensionnaires.De temps en
temps, passagèrement... ça c'est votre affaire ; mais pour de bon, non.
Si je voulais tolérer ça, j'engagerais des gens mariés,ça revient meil-
leur marché ; mais je désire que le public ait toujours le sentiment
que mes comédiens et surtout mes commédiennes sont - comment dirais-je
indépendants.
FINK
Monsieur le directeur a parfaitement raison. Allons répéter,Enderlé.
SOHNEIDER (en apercevant Anna Ridel qui vient du
fond (Et là-dessus, au revoir messieurs. (il se tourne de l’autre eô-
te; - Fink et Enderlé entrent dans le théâtre )
SC E N E 11.
SCHNEIDER, ANNA RIEDEL
S CH N E I D E R (saluant Anna aveo une déférence laquel¬
le on n'est pas habitue de sa part)
Mademoiselle!
ANNA ( très froide)
Je vous demande pardon, mais je dois encore aller chercher quelques me-
nus objets qui se trouvent dans ma loge.
SCHNEIDER
Laisses tout cela, chère mademoiselle Rädel,car je n'ai pas l'intention
de résilier votre engagement.
ANNA
Il l'est déja,je pense.
SCHNEIDER
Non, nou mademoiselle.Vous resterez chez nous,et,va sans dire que vous
continuerez à toucher votre traitement entier.
ANNA (riant)
Adieu.
SCHNEIDER
Je vous en prie,ne faites pas des bêtises ; peut-être trouves-vous que
Je ne vous paie pas assez l'En bien, vous augmente de 200, 300... 400