errein
3té à reciter
moi 2m. tron tron théatre. On dirait qu'il s'app-
prosper (brutalemetn)
spechons nous!.... Ou bien vcus aurez à faire à moi!
begrains-tu,Didider?D’ou viens-tu?
pis n'avez pas besoin de gros mots pour cela! (il lui rend la
curse) de tuer.
prosper
t ne bougez pas d'ici de n'ai pas le temps de vous fouiller
aintenant! Retournez à votre place!
lipotte
n'est moi qui vais gagner la jarretiere.
me um
prosper (jettamt à Francois saebourse) s-fixenent i et
Voilà ta bourse qui était tombée de ta poche.
François vant le
tate)
Tiens! Merci! /a Albin/. tu vois,ce sont en réalité les gens les
plus honnêtes du monde-t-il d'étonnant à cela?V ous le savez
Ma femme! Cela ne pouvait pas
Scena XVI a femme
tous ce quw,
Les mêmes, Didien, entre depuis un moment s'est tenu derrière
les autres et surgit brusquement
Collin
Ou est elle?
Didier! Voilà Didier!
La Marquiseur lui donne la replique!Cela rend la chose toute
Est ce celui là dont vous m'avez tant parle?
L. Marquis
Oui, cui, jC'est d'ailleurs uniquement pour lui que l'on vient
ici?
(Didier s'avance, prend des attandes théatrales.et se tait.)
Les Comadiens
Qu'est ce que tu aa, Didien?
Collin
Observaz og regard JO'est tolle un monde de tortures morales.T
mit du dehorw a cessé
Il joue le### crimes paasionnela.!
G.F.P.
1575.
La Manqui sudider, continue!
ej sl
On!J'aime cela
nous, l'affaire, Didier! Ou est ta femme. "Ou l'as tu laissée
dergeI)
geor.
Il est comme loin d'ici! Regardez bien! Voyez.... Il a du com-
e brieff
mettre quelque forfait épouvantable!