A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 17

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si bien qu'il le croit lui-même. Parfois, il me fait même de
la peine. Vraiment docteur, je pense souvent qu'il est poussé
par son démon.
Un démon -? Heu!... mais il y a des femmes dans ce cas qui
AUER.
enverraient leur mari au diable, avec son démon....
. (sur un
regard interrogateur de Genia
par exemple, la mère de
l'Enseigne de Vaisseau qui avait, dans son temps, un mari assez
lui anni
possedé par ce démon.lai aussi.
ent-être aimiteelle son aussi plus que mois. Jeüt-Ötre
GENIA.
est. elle
la meilleure maière a'aimer, [r]lle qui ne pardonne pas.
FREITER (arrive. Elance, pas très grand. Etroit et fin
visage; moustache foncée coupée à l'anglaise; cheveux
Trédéric
blonds, pris melés; raie à droite; il porte des lor¬
gnons nnns corden, qu'il enlève nouvent; marche un peu
penche en avant. Jeux stits un peu clignotants. ima¬
ble, douce, presque féminine façon de s'exprimer, qui
par ois devient d'une ironie mordante. Les mouvements
sont souples mais décelent l'énergie. Il est habillé
avec élégance mais sans prétention. Cestume sombre;
paletot noir h revers de soie, onvert; chapeau-rond noir;
parapluie élégant à manche simple).
(Encore à la porte)
FREDERIC
Bensoir.
(En entrant) Salut Mauer.
(Avec u tire particulier qui lui est habituel, et
qu'il a souvent comme s'il voulait se moquer de ses
interlocu eurs)
JAUER. - Bonjour Frédéric.
(II se 1 ve)
PRRÈC.- (sur l'Hercalier de la véranda, embrasse Genia distrittement
sur le front)
Bonsoir, Genia. Comment vas-tu? u'y a¬
t-il de neuf? Des lettres?
Rien du tout. Le courrier du soir n'est pas encore arrivé.
RÉLIRIC. - (regarde sa montre)
Sept heures moins 1/4. On devrait bien
mettre le facteur à la retraite. D'année en année il devient