Votre très de lui faire.
11.11
que chose. Je n'ai rien à me reprocher?! S'il m'avait dit ce qu'
il avait l'intention de faire - s'il me l'avait dit...oh. Je
l'aurais ramene à la raison...
FREDERIC.- Comment -?
GENIA. - Je lui aurais demandé sa promesse....
FREDERIC.- Comment ça? Mais non! Tu ne lui aurais rien demandé; tu
serais simplement devenue sa maîtresse... c'est très compréhen¬
sible.
GENIA.- Je ne crois pas.
FREDERIC. - Allons donc!
compte. - Oh, non pas à cause de toi, ni à cause da Percy.
FREDERIC.- Pourquoi donc alors?
GEMIA. - A cause de moi.
DERIC. Je ne comprends pas.
σENIA.- Je n'aurais pas pu. Dieu sait pourquoi. Je n’aurais pas. pu.
(silence)
PREDERIC.- Voilà ta lettre, Genia.
GENIA. (la prend).
MUER (arrive)
MAUER. Bonsoir mes chers amis. J'espère que je ne vous ai pas fait trop
longtemps attendre.
FREDERIC.- (allant à sa rencontre) Bonsoir, Mauer. Alors Stanzides va
tout à fait bien. Il est au casino, au concert.
MAUER.- Oui, je l'y ai accompagne moi-Gme.
FRADARIC. - Paul Kreindl était là à l'instant; nous devons y aller aus¬
si après le dîner.
CENIA. - Je veux voir si le dîner...
FREDERIC.- Ecoute. Cenia, j'ai une idée... Allons tout de suite au
casino. Je ne sais pas pourquoi, J'ai une grande envie de musi¬
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que chose. Je n'ai rien à me reprocher?! S'il m'avait dit ce qu'
il avait l'intention de faire - s'il me l'avait dit...oh. Je
l'aurais ramene à la raison...
FREDERIC.- Comment -?
GENIA. - Je lui aurais demandé sa promesse....
FREDERIC.- Comment ça? Mais non! Tu ne lui aurais rien demandé; tu
serais simplement devenue sa maîtresse... c'est très compréhen¬
sible.
GENIA.- Je ne crois pas.
FREDERIC. - Allons donc!
compte. - Oh, non pas à cause de toi, ni à cause da Percy.
FREDERIC.- Pourquoi donc alors?
GEMIA. - A cause de moi.
DERIC. Je ne comprends pas.
σENIA.- Je n'aurais pas pu. Dieu sait pourquoi. Je n’aurais pas. pu.
(silence)
PREDERIC.- Voilà ta lettre, Genia.
GENIA. (la prend).
MUER (arrive)
MAUER. Bonsoir mes chers amis. J'espère que je ne vous ai pas fait trop
longtemps attendre.
FREDERIC.- (allant à sa rencontre) Bonsoir, Mauer. Alors Stanzides va
tout à fait bien. Il est au casino, au concert.
MAUER.- Oui, je l'y ai accompagne moi-Gme.
FRADARIC. - Paul Kreindl était là à l'instant; nous devons y aller aus¬
si après le dîner.
CENIA. - Je veux voir si le dîner...
FREDERIC.- Ecoute. Cenia, j'ai une idée... Allons tout de suite au
casino. Je ne sais pas pourquoi, J'ai une grande envie de musi¬