A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 61

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vanité de ta constance, je sais bien...
Eh bien, adors puisque tu le sais......
EDERIC
Oui, mais enfin cela est arrive....
Quoi, quoi?
Qu'il a dû se suicider.... c'est cela qui est terrible.... je
EDERIC
ne peux pas sortir de là.
Quoi quoi
(elle prend sa teté dans ses mains).
Pense un peu - on ne peut rien changer à ce fait terrible : que
,o
le pauvre Korsakow est maintenant sous terre et y pourrit... et
que la cause en est toi!... Naturellement... innocente - dans les
deux sens -. Un autre que moi ce mettrait peut-être à tes genoux,
et te vénérerait - comme une sainte- précisément pour ton attitu¬
dei.. Je ne suis,pas ainai.... tu m'es devenue justement par là
presque étrangère
Frédéric!!... étrangères.... Frédréric! -
Oui, s'il t'avait été anticipathique - ce serait alors la chose la
plus naturelle du monde. Mais non, je sais bien qu'il te plaisait
beaucoup.... on peut même dire que tu en étais un peu amoureuse.
Ou bien encore - si j'avais.... bien mérité de toi.... si tu
avais été vis à vis de moi obligée à ce que l'on appelle la
fidélité.... Mais je n'y avais réellement aucun droit... enfin...
ne parlons pas de cela.- Alors je me demande toujours et encore
pourquoi a-t-il dû mourir?
GENIA.
Frödéric!
Et comprends-tu, cette pensée.... que ta vertu, ce quelque chose,
FREDERIC
qui en réalité n'est rien qu'une idée, un fantôme, un néant - au
moins wie à vis d'une chose aussi terrible, aussei irréparable
que la mort - que LA VERTU, ait poussé un homme dans la mort, cette
idée c'est réellement très anticipathique. Oui.... Je ne peux pas