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GENIA.- Ne serait-Se pas le plus sage? Nous ne nous verrons plus
jamais.
Genia! Dans deux ans je serai lh.
OTTO.
CENIA6- Dans deux ans!
OTTO.- Si tu as confiance en moi, Genia. Je puis être là plus tôt
aussi. Benucoup plus tôt. Il y a d'autres possibilités pour moi...
Tu le sais... Je ne devrais pas partir, Genis.
GEMIA.- Tu le dois. Il le faut, plutôt, c'est un commandement.
TTO. - Comment pourrai-je vivre sans toi!
GENIA.- Tu le pourras. C'était beau nais c'est maintenant du passé.
Sois heureux dans ton voyage, Otto, et heureur dans ta vie.
(silence)
OTTO.- Que feras-tu quand je serai parti?
L'ENIA. - Je ne sais pas. Aujourd'hui je ne le sais paa. que savions-
nous de maintenant il y a quelques semaines, même quelque jours
... on glisse. On glisse toujours plus loin, qui sait où
TO.- Comment peux-tu dire... Oh, je te comprends! Tu parles ainsi
pour me rendre notre séparation plus légère. Genia... souviens-
toi, Genia...
CENIA.- Je me souviens. Oh, oui je me souviens (Amèrement)
Mais l'ou¬
bli ne commence pas autrement.
Tu as donc plaisir à me faire de la peine?
Pourquoi me crois-tu meilleure que je ne suis? Je ne Suis pas
GENIA.
meilleure que d'autres. Tu ne remarques pas? Je menis, je dissi¬
null. Je joue la comédie devant tout le monde, - devant M. Natter
et devant Mme Wahl... devant ta mère aussi bien que devant ma
feume de chambre. Je joue à l'honnete femme - et la nuit je laisse
ma fenêtre ouverte pour mon amant. J'éoris à mon fils qu'il peut
Jour. C
GENIA.- Ne serait-Se pas le plus sage? Nous ne nous verrons plus
jamais.
Genia! Dans deux ans je serai lh.
OTTO.
CENIA6- Dans deux ans!
OTTO.- Si tu as confiance en moi, Genia. Je puis être là plus tôt
aussi. Benucoup plus tôt. Il y a d'autres possibilités pour moi...
Tu le sais... Je ne devrais pas partir, Genis.
GEMIA.- Tu le dois. Il le faut, plutôt, c'est un commandement.
TTO. - Comment pourrai-je vivre sans toi!
GENIA.- Tu le pourras. C'était beau nais c'est maintenant du passé.
Sois heureux dans ton voyage, Otto, et heureur dans ta vie.
(silence)
OTTO.- Que feras-tu quand je serai parti?
L'ENIA. - Je ne sais pas. Aujourd'hui je ne le sais paa. que savions-
nous de maintenant il y a quelques semaines, même quelque jours
... on glisse. On glisse toujours plus loin, qui sait où
TO.- Comment peux-tu dire... Oh, je te comprends! Tu parles ainsi
pour me rendre notre séparation plus légère. Genia... souviens-
toi, Genia...
CENIA.- Je me souviens. Oh, oui je me souviens (Amèrement)
Mais l'ou¬
bli ne commence pas autrement.
Tu as donc plaisir à me faire de la peine?
Pourquoi me crois-tu meilleure que je ne suis? Je ne Suis pas
GENIA.
meilleure que d'autres. Tu ne remarques pas? Je menis, je dissi¬
null. Je joue la comédie devant tout le monde, - devant M. Natter
et devant Mme Wahl... devant ta mère aussi bien que devant ma
feume de chambre. Je joue à l'honnete femme - et la nuit je laisse
ma fenêtre ouverte pour mon amant. J'éoris à mon fils qu'il peut
Jour. C