A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 115

- III -
MAUER.- C'est faire beaucoup de frais pour peu de chose.
FREDERIC.- Jenne trouve pas. La bonne humeur est la principale chose
sur la terre.
MAUER.- Je laisserais l'occasion venir. Je ne peux pas te donner un
autre conseil, avec la meilleure volonté.- Et maintenant, je vais
dire bonjour à ta femme et coursuivra mon chamin. M eu aller
FREDERIC.- Mauer... tu m'en veux?
MAUER. - Je t'en veux? Non. Mais je n'ai pas le désir de rester ici
davantage.
FREDERIC.- Ecoutes, Hauer... Tu sais pourtant que je suis parti peu de
temps après toi du Völser heiher?
L'AUER.- "Peu de temps" est bon.
FREDERIC. - Aussitôt!... le lendemain!.... Sais-tu pourquoi? J'ai pris
la fuite.
MAUER.- Ah! -
FREDERIC. - Oui, devant moi, devant moi-même. Car j'étais très amoureux
d'Erna, je te l'avoue sans façons.
MAUER.- Tu n'as pas de comptes à me rendre.
FRÉDERIC.- certainement pas. Ce n'est pas non plus ce que je fais. Ne
reconnais seulement pourquoi tes fausses suppositions...
NAURR.- ce que j'ai toujours suppose, avec raison ou non, la chose
n'a plus aucun intérêt pour moi.- Tuis-je dire bonsoir à ta
femme?
FREDERIC.- Tu le feras plus tard. Maintenant tu vos rester aimablement
ici. Il faut que nous nous expliquions. Je t'assure que tu te
trompes. Je l'ai embrassée, oui. Une fois... Je ne le nie pas.
Mais un baiser comme ça, en liberté, quand il fait si beau, à
deux mille mètres d'altitude, ne signifie rien. J'appelle cela...
l'ivresse des hauteurs...