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G.C.H.
Elle lit, elle fait de la musique; elle s'occupe d'oeuvres cha¬
ritables, de la ruisine, elle élève ses enfants; - elle peut même
être une très bonne mère, et souvent aussi une excellente épouse.
Et cent fois plus digne - qu'une soi-disant honnête femme. Re-
garde seulement Adèle Natter.
fait
MAUER.- Je pense que tu ne m'as pas xxxx.
tes vues philosophiques.
Trank
FRUDERIC.- Non, dela sØst ainsi. Maia puisque nous somnes
suje
voudrais savoir
parler
sur ce je xxxx, ja xxx
de l'histoire entre me femme et l'Enseigne de Vaissenu.
MAUER.- (surpris) Entre ta femme et... Pas un mot... comment aurais-je
pu... Je n'ai pas été ici depuis treis semhines.
RIC.- Eh bien, c'est moi qui te l'apprends. u'est-ce que tu dis
xx
Ce n'est peut-être pas vrai. Et quand dela serait vraj...
FREDEUO.- Tu me le souhaites du fond du cœur. Je suis. Mais jécédais
ta mulice est sans objet. Pour cela 11 faudrait que
je prenne la chose avec peine, ou au moins avec colère. Et ce
n'est absolument pas le cas. Au contraire, c'est plutôt xxx pour
moi comme une libération intérieure. Je ne me sens plus dans cette
maison comme un coupable. Je respire de nouveau. C'est en quelque
sorte comme si elle avait fait pénitence pour la mort de Korsa¬
kow, et en vérité d'une façon très raisonnable, et sans douleur.
maintenir.
à me paraître plus humaine. Nous vivons
Elle commence
raiment.
maintenant, pour ainsi dire,-sur la même planète.
MAUER.- Tu prends cela très bien. Mes compliments. Tu ne le crois
dans doute
pas apparemment. Comme on ne peut jamais savoir ces choses avec
une certitude absolue....
FREDIRIC.- Ah, quelquefois. Par exemple, quand on voit l'amant des-
G.C.H.
Elle lit, elle fait de la musique; elle s'occupe d'oeuvres cha¬
ritables, de la ruisine, elle élève ses enfants; - elle peut même
être une très bonne mère, et souvent aussi une excellente épouse.
Et cent fois plus digne - qu'une soi-disant honnête femme. Re-
garde seulement Adèle Natter.
fait
MAUER.- Je pense que tu ne m'as pas xxxx.
tes vues philosophiques.
Trank
FRUDERIC.- Non, dela sØst ainsi. Maia puisque nous somnes
suje
voudrais savoir
parler
sur ce je xxxx, ja xxx
de l'histoire entre me femme et l'Enseigne de Vaissenu.
MAUER.- (surpris) Entre ta femme et... Pas un mot... comment aurais-je
pu... Je n'ai pas été ici depuis treis semhines.
RIC.- Eh bien, c'est moi qui te l'apprends. u'est-ce que tu dis
xx
Ce n'est peut-être pas vrai. Et quand dela serait vraj...
FREDEUO.- Tu me le souhaites du fond du cœur. Je suis. Mais jécédais
ta mulice est sans objet. Pour cela 11 faudrait que
je prenne la chose avec peine, ou au moins avec colère. Et ce
n'est absolument pas le cas. Au contraire, c'est plutôt xxx pour
moi comme une libération intérieure. Je ne me sens plus dans cette
maison comme un coupable. Je respire de nouveau. C'est en quelque
sorte comme si elle avait fait pénitence pour la mort de Korsa¬
kow, et en vérité d'une façon très raisonnable, et sans douleur.
maintenir.
à me paraître plus humaine. Nous vivons
Elle commence
raiment.
maintenant, pour ainsi dire,-sur la même planète.
MAUER.- Tu prends cela très bien. Mes compliments. Tu ne le crois
dans doute
pas apparemment. Comme on ne peut jamais savoir ces choses avec
une certitude absolue....
FREDIRIC.- Ah, quelquefois. Par exemple, quand on voit l'amant des-