Je t'en supplie, prenons une autre direction
Comme tu voudras
Il appelle le escher qui semble ne pas entendre
il se penche en avant et le touche de sa
main. Le cocher se tourne
Pierbrousséz chemin, mon bon, et ne fanettez
pas si fort vos chevaux nous ne sommes pas
pressés. Allez dans... savez-vous l'allée qui
mène à la Reichsbrücke
Dans la Reichstrasse?
Om, et ne reprenez pas cette course effrence
ça n'a pas de sens de faire trotter amis
les chevaux.
Faites exenses, M. sieur, c'est le vent qui
effaranche les bêtes.
tham le vent. Franz reprit sa place.
Le cocher fit tourner les chevant, et ils
continuèrent leur route.
Pourguoi ne t'ai je pas un hier? Dit elle
Comment aurions-nous pu?
je croyais que tu était invité chez ma soeur.
Oui c'est vrai.
Rourgnoi n'y étais tu pas?
Parce que, je ne peut pas supporter d'être avec
toi parmi le monde. Non, jamais plus.
Elle hanssa les épaules!
On sommes-nous maintenant demanda-t-elle
Ils allaient sans le pont du chemin de fer
dans la Puichstrasse
Ce chemin nous mène au grand Danube
dit Franz, pas loin de la Reichsbrucke. Là, il n'y
a pas des connaissances, ajanta -t-il iraniquement
Cette voiture cahaté horriblement
Om, nous trottons de nouveau sur le pavé
Pourquoi va-t-il toujours en ézig-zag?
Ca te fait seulement cet effet, dit Franz
Cependant, il trouvait lui-même que la
voiture les jetait de côté et d'autre plus qu'il
ne fallait. Il ne voulait rien dire pour
ne pas accraitre son antiété
Ma chère Emma, j'ai à te parler aujourd'hui
longtemps et sérieusement
En dois commencer vite, parce qu'à neuf heures
il faut que je sais rentréé
En deux mots, tout peut se décider
Mon Dieu qu'arrive-t-il encore? L'écria-
Comme tu voudras
Il appelle le escher qui semble ne pas entendre
il se penche en avant et le touche de sa
main. Le cocher se tourne
Pierbrousséz chemin, mon bon, et ne fanettez
pas si fort vos chevaux nous ne sommes pas
pressés. Allez dans... savez-vous l'allée qui
mène à la Reichsbrücke
Dans la Reichstrasse?
Om, et ne reprenez pas cette course effrence
ça n'a pas de sens de faire trotter amis
les chevaux.
Faites exenses, M. sieur, c'est le vent qui
effaranche les bêtes.
tham le vent. Franz reprit sa place.
Le cocher fit tourner les chevant, et ils
continuèrent leur route.
Pourguoi ne t'ai je pas un hier? Dit elle
Comment aurions-nous pu?
je croyais que tu était invité chez ma soeur.
Oui c'est vrai.
Rourgnoi n'y étais tu pas?
Parce que, je ne peut pas supporter d'être avec
toi parmi le monde. Non, jamais plus.
Elle hanssa les épaules!
On sommes-nous maintenant demanda-t-elle
Ils allaient sans le pont du chemin de fer
dans la Puichstrasse
Ce chemin nous mène au grand Danube
dit Franz, pas loin de la Reichsbrucke. Là, il n'y
a pas des connaissances, ajanta -t-il iraniquement
Cette voiture cahaté horriblement
Om, nous trottons de nouveau sur le pavé
Pourquoi va-t-il toujours en ézig-zag?
Ca te fait seulement cet effet, dit Franz
Cependant, il trouvait lui-même que la
voiture les jetait de côté et d'autre plus qu'il
ne fallait. Il ne voulait rien dire pour
ne pas accraitre son antiété
Ma chère Emma, j'ai à te parler aujourd'hui
longtemps et sérieusement
En dois commencer vite, parce qu'à neuf heures
il faut que je sais rentréé
En deux mots, tout peut se décider
Mon Dieu qu'arrive-t-il encore? L'écria-