A245: Französischsprachige Übersetzungen IV Les Morts Ne Parlent Pas, Seite 13

Pas loin d'ici, Madame nous sommes tout
près de Franz gosifsland.. Nous verrions les
maisons, s'il y avait de la lumière en cinq
minutes on y serait,
- Allez-y l'attendrai votre retour et ramenez
du monde avec vous.
- Oui, mais je crois que je ferais mieux de
rester là, il n'y a plus longtemps à attendre
Que quelqu'un vienne c'est pourtant la
Preichstrasse et
Ce serait trop tard qui trop tord. Il nous
fant un médecin
Le cocher porta ses yent sur le corps ina
nimé puis regarda Emma en seconant la tête.
Vous ne pouvez pas savoir, s'écria t-elle
ni moi non plus.
Oui om, vous avez raison Madame, mais
on trouver un médecin à Franz Josefsland?
De là-bas,on enverra en ville, si ça ne va
pas autrement, et
-Ecoutez Madame, il me vient à l'idée, qu'on
aura peut-être un téléphon. Nous pourrions
téléphonner à la société de Bon-Secours.
C'est ce qu'il y a de mient! Allez de grâce,
et... s'il
courez! Ramenez du monde... Et
encore?
vous plaît, courées, qu'attenderz-vous
Le cocher regarda le visage pâle
qui main
tenant reposait sur les genons de la jeune
femme. Société de Bon-Secours, médecin
tout cela n'aidera plus à rien.
-Allez donc, enfin! Allez vite!
Je cours si seulement, la peur ne vous
suisit pas la dans ces ténèbres. Il marchait
vite le long du chemin en murmurant,
ce n'est pas ma faute sur mon âme
ce n'est pas ma faute - Aussi, une idée
d'aller au milieu de la nuit dans la
Peichstrasse..
Emma seule avec le blessé dans cette
obscurité, ne savait que pensée devenue
Que faire a ce n'est pas possible
toujours ces mêmes paroles revenoient
à ses lèvres.. ce n'est pas possible
un instant, elle croit entendre respirer
tout près. Elle se baisse jusqu'aux livres
pâles. Non, de là, pas le plus petit souffle