Le sang semblait séché aux tempes et aux jours
Elle regarde les yens, les y ont vitrent sans vie,
elle frémit. Pourquoi je ne veux pas le
croire - c'est certain... c'e est la mort! Le frisso
la saisit. Elle sont seulement: un mort
Moi et un mort le mort sur mes genons.
De ses mains Tremblantes, elle pousse la
tête qui repose de nouveau à terre. C'est
alors que l'angoisse de la delitude l'empoigne
Pourgnoi a-t-elle renvoyé le cocher à Quelle
folie. Que doit-elle faire seule, sur la
grand route avec ce cadavre? Si du monde
vient "que va-t-elle dire, qui, que leur
dira-t-elle? Puis, combien de temps fau
dra-t-il lui attendre? Elle regarde le mort
je ne suis pas seule avec lui. La lumière
est aussi là. Il lui semble voir quelque
chose de reconfortant dans cette lumière,
quelque chose d'aimable, de calme qu'elle
devrait remercier. Il y avait plus de vie
dans cette petite flamme que dans toute
cette vaste nuit. On c'était comme
si cette lumière voulait la protéger de
cet homme livide et terrible qui gisait
Elle regarda si longtemps
près d'elle...
cette lumière jusqu'à ce que ses yeux
vacillèrent. Instantanément, elle eut le
sentiment qu'elle se réveillait. Elle se re
dresse. Il ne faut pas qu'on me trouve
ici avec lui, ça ne va pas, c'est impassible.
C’était comme si elle se voyait elle-même
là, sur la route, à ses pieds, le mort et
la lumière; et elle croyait se voir étrange¬
ment grandir dans l'obscurité. Qu'est-ce
que j'attends, songé-t-elle et ses pensées
se pressent l'une l'autre... Qu'est-ce
que j'attends? Des gens? Qu'ont-ils
besoin de moi? Ils viendront et ques
tionneront... et moi... qu'est-ce que
je fais ici? On demandera qui je suis?
Que répondre? Rien! Je ne dira pas
mot, si des gens viennent, je me tairai
Pas une parole
... ils ne peuvent pas
me farcer.
Des voix approchaient
Déjà? pense-t-elle. Plaine d'angaisse
Elle regarde les yens, les y ont vitrent sans vie,
elle frémit. Pourquoi je ne veux pas le
croire - c'est certain... c'e est la mort! Le frisso
la saisit. Elle sont seulement: un mort
Moi et un mort le mort sur mes genons.
De ses mains Tremblantes, elle pousse la
tête qui repose de nouveau à terre. C'est
alors que l'angoisse de la delitude l'empoigne
Pourgnoi a-t-elle renvoyé le cocher à Quelle
folie. Que doit-elle faire seule, sur la
grand route avec ce cadavre? Si du monde
vient "que va-t-elle dire, qui, que leur
dira-t-elle? Puis, combien de temps fau
dra-t-il lui attendre? Elle regarde le mort
je ne suis pas seule avec lui. La lumière
est aussi là. Il lui semble voir quelque
chose de reconfortant dans cette lumière,
quelque chose d'aimable, de calme qu'elle
devrait remercier. Il y avait plus de vie
dans cette petite flamme que dans toute
cette vaste nuit. On c'était comme
si cette lumière voulait la protéger de
cet homme livide et terrible qui gisait
Elle regarda si longtemps
près d'elle...
cette lumière jusqu'à ce que ses yeux
vacillèrent. Instantanément, elle eut le
sentiment qu'elle se réveillait. Elle se re
dresse. Il ne faut pas qu'on me trouve
ici avec lui, ça ne va pas, c'est impassible.
C’était comme si elle se voyait elle-même
là, sur la route, à ses pieds, le mort et
la lumière; et elle croyait se voir étrange¬
ment grandir dans l'obscurité. Qu'est-ce
que j'attends, songé-t-elle et ses pensées
se pressent l'une l'autre... Qu'est-ce
que j'attends? Des gens? Qu'ont-ils
besoin de moi? Ils viendront et ques
tionneront... et moi... qu'est-ce que
je fais ici? On demandera qui je suis?
Que répondre? Rien! Je ne dira pas
mot, si des gens viennent, je me tairai
Pas une parole
... ils ne peuvent pas
me farcer.
Des voix approchaient
Déjà? pense-t-elle. Plaine d'angaisse