A245: Französischsprachige Übersetzungen IV Les Morts Ne Parlent Pas, Seite 17

le chemin semble plus clair... om, elle
entend le murmure de l'eau comme aupara
vant, elle est là où ils allaient tous les
dent, bras dessus, bras-dessous. Quand
Quand? Depuis combien d'heures? Ce ne
pent être depuis longtemps. Pas longtemps?
Pent-être si! Pentêtre elle était longtemps
sans connaissance, peut être minuit
est passé, peut-être le matin approche,
pentitre on l'a attendue en vain.
Non, non ce n'est pas possible elle sent,
qu'elle n'était pas evanonie. maintenant
elle se rappelle mient qu'an premier
moment, que tout d'abord après la chute,
rien ne lui avait échappé de ce qui s'
était passé. Elle court sur le pont et
elle entend retentir ses pas. Elle ne regarde
ni à droite ni à gauche. Maintenant
elle voit venir quelqu'un à sa rencontre.
Elle ralentit ses pas. Qui ce peut être?
qui vient vers elle. C'est quelqu'un
en uniforme. Elle marche lentement
Elle ne doit pas attirer son attention.
Elle croit voir le regard de cet homme fixé
sur elle. S'il la questionne? Elle est près
de lui, elle reconnaît l'uniforme; c'est un
sergent de ville, il passe. Elle entend qu
il c'est arrêté derrière elle. Avec peine
elle se retient pour ne pas reprendre sa
course, il pourrait la soupçonner. Elle
marche toujours aussi lentement qu'au
paravant, entend les pas derrière elle
Mais ces pas s'éloignent. Ils se perdent
tout à fait. Elle respire; le pont passé
elle entend le tintement du tramway.
Ce n'est pas encore minuit. Là voila
qui qu court de nouveau; elle presse ses
pas vers la ville d'où elle voit refléter
les lumières sans le viaduc du chemin.
de fer, dont elle croit anir le bruit
s'amortissant. Encore cette rue déserte
et la voilà sauvée. Maintenant
elle entend de loin un sifflet strident,
toujours de plus en plus strident se
rapprocher, une voiture file à toute
bride. Gnvolantairement, elle s'arrête