Mon Dieu! Gémit dencement la jeune femme
Attends-moi un instant chérie; je le trouverais
là dedans dit-il en faisant de la main
Le jeune homme avait la porte d'une
petite anberge; et vit le cocher attablé
avec quelques rouliers.
Vélà, v' là, m' sieur, dit ce dernier vidant
d'un coup son verre
Qu'est-ce qui vous a puis de vous esquiver
comme ça?
Etensez moi, m' sieur, mais... v'là, je suis écrouvés
D'un pas chancelant, il coment à ses chevaux
On faut-il vous conduire m' sieur?
Cela nʼentraîne
An Prater Lusthaus
Cha jeune femme pelotonnée dans le fond,
était presque cachée sans la capale de la voiture.
Il prit ses deux mains dans les siennes.
Elle ne bongea pas - Ne vent-tu pas an
moins me dire bonsoir?
Je t'en supplie, laisse-moi revenir à moi,
je suis encore hors d'haleine
Le jeune homme s'appuya dans son coin
et tous dent restèrent un moment sans parler.
La voiture avait tourné la Pratustrasse était
passée devant le monument de Tigethoff et en
quelques secondes était lancée à fond de tran
dans la sombre et large allée du Protic D'un
mouvement subit, somma en laça de ses deux
bras le con de son amant. Lui, relava doucement
le voile qui le séparait de ses livres et l'embrasse
longuement.
Enfin, me voilà près de toi!
sais-tu depuis combien de temps nous
ne nous sommes vus?
Depuis dimanche
Oui et de loin encore!
Comment? Mais tu était chez nous
Oui ani, chez vous. Non cette vie ne peut
plus continuer ainsi. Chez vous surtout je
ne veux plus revenir. Mais qu'est ce que tu as
Une voiture vient de passer près de cône
Les gens qui vont au Prater aujourd'hui chérie,
ne prennent pas garde à nous
Je le crois bien. Mais on pourrait regarder
par hasard.
C'est impossible de reconnaître quelque
Attends-moi un instant chérie; je le trouverais
là dedans dit-il en faisant de la main
Le jeune homme avait la porte d'une
petite anberge; et vit le cocher attablé
avec quelques rouliers.
Vélà, v' là, m' sieur, dit ce dernier vidant
d'un coup son verre
Qu'est-ce qui vous a puis de vous esquiver
comme ça?
Etensez moi, m' sieur, mais... v'là, je suis écrouvés
D'un pas chancelant, il coment à ses chevaux
On faut-il vous conduire m' sieur?
Cela nʼentraîne
An Prater Lusthaus
Cha jeune femme pelotonnée dans le fond,
était presque cachée sans la capale de la voiture.
Il prit ses deux mains dans les siennes.
Elle ne bongea pas - Ne vent-tu pas an
moins me dire bonsoir?
Je t'en supplie, laisse-moi revenir à moi,
je suis encore hors d'haleine
Le jeune homme s'appuya dans son coin
et tous dent restèrent un moment sans parler.
La voiture avait tourné la Pratustrasse était
passée devant le monument de Tigethoff et en
quelques secondes était lancée à fond de tran
dans la sombre et large allée du Protic D'un
mouvement subit, somma en laça de ses deux
bras le con de son amant. Lui, relava doucement
le voile qui le séparait de ses livres et l'embrasse
longuement.
Enfin, me voilà près de toi!
sais-tu depuis combien de temps nous
ne nous sommes vus?
Depuis dimanche
Oui et de loin encore!
Comment? Mais tu était chez nous
Oui ani, chez vous. Non cette vie ne peut
plus continuer ainsi. Chez vous surtout je
ne veux plus revenir. Mais qu'est ce que tu as
Une voiture vient de passer près de cône
Les gens qui vont au Prater aujourd'hui chérie,
ne prennent pas garde à nous
Je le crois bien. Mais on pourrait regarder
par hasard.
C'est impossible de reconnaître quelque