A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 7

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WABL.- Oui, on dit toujours ça dans les journaux.
IA.- Le fait est par hasard vrai. Je le sais de bonne part puisque
mon mari était parmi les amis avec lesquels il a séance.
AHL; 6 Ah.
MlA.- (incidemment) Mon mari a souvent à faire en ville assez tard; il
dîne alors à l'hôtel Impérial, - il retrouve là quelques amis
comme dans sa vie de célibataire. Dans les derniers temps Korsa-
kow y était souvent car il habitait l’hôtel. Et, comme Fredéric
lui-même me l’a raconté, il n’y avait chez lui rien de remarqua-
ble ce dernier soir. Ils sont ensuite fait ensemble une partie
de billard dans un café.
ne WaHL.- Comment, votre mari et Korsakow?
ENIA.- Oui. Ils ont même parie - et mon mari a perdu. Le lendemain
matin il a envoyé le garçon du bureau à l'hôtel, avec les eigares
qu'il avait perdus... et - vous ne saviez pas cela? - le garçon
était là lorsque la chose a été découverte.
de rah; - Comnent?
IA. - Eh bien, il a frappé deux fois, personne n'a répondu.Oinalement
il a ouvert la porte pour déposer les eigares et....
NA. - Korsakow était là mort......
WIA.- Oui. Mort, sur le divan, le révolver encore dans la main...
(silence)
te WaH.- Ce garçon a dû être bien effrayd.- Et qu'a-t-il fait des
zigares? Est-ce qu'il les a laissés là?
NA.- Maman aime les précisions historiques.
NIA.- Exousez-moi Mme von Wajul, J'ai completement oublié de m'en
informer.
(Bruit d'une unto)
HAHä.- On s'arrête ici.