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que chose, je n'ai rien à me reprocher?! S'il m'avait dit ce qu'
il avait l'intention de faire - s'il ne l'avait dit...oh, je
l'aurais ramené à la raison...
DERIC. - Comment -?
IA.- Je lui aurais demandé sa promesse...
DERIC.- Comment ga? Mais non! Tu ne lui aurais rien demandé; tu
serais simplement devenue sa maîtresse... c'est très compréhen-
sible.
IA.- Je ne crois pas.
DERIC.- Allons donc!
LA.- Oh, non pas à cause de toi, ni à cause da Peroy.
DERIC. - Pourquoi donc alors?
A. - A cause de moi.
DERIC. - Je ne comprends pas.
LA JE n'aurais pas pu. Dieu sait pourquoi. Je n'aurais pas pu,
(silence)
DERIC. - Voilà ta lettre Genia.
A.( la prend).
MUER (arrive)
ER. Bonsoir mes chers amis. J'espère que je ne vous ai pas fait trop
longtemps attendre.
DERIO.- (allant à sa rencontre) Bonsoir, Mauer. Alors Stanzides va
tout à fait bien. Il est au casino, au concert.
R. - Oui, je l'y ai accompagné moi-même.
DÉRIC. - Paul Kreindl était là à l'instant; nous devons y aller aus-
si après le dîner.
A. - Je veux voir si le dîner...
DERIC.- Ecoute. Genia, j'ai une idée... Allons tout de suite au
casino. Je ne sais pas pourquoi, J'ai une grande envie de musi-
que chose, je n'ai rien à me reprocher?! S'il m'avait dit ce qu'
il avait l'intention de faire - s'il ne l'avait dit...oh, je
l'aurais ramené à la raison...
DERIC. - Comment -?
IA.- Je lui aurais demandé sa promesse...
DERIC.- Comment ga? Mais non! Tu ne lui aurais rien demandé; tu
serais simplement devenue sa maîtresse... c'est très compréhen-
sible.
IA.- Je ne crois pas.
DERIC.- Allons donc!
LA.- Oh, non pas à cause de toi, ni à cause da Peroy.
DERIC. - Pourquoi donc alors?
A. - A cause de moi.
DERIC. - Je ne comprends pas.
LA JE n'aurais pas pu. Dieu sait pourquoi. Je n'aurais pas pu,
(silence)
DERIC. - Voilà ta lettre Genia.
A.( la prend).
MUER (arrive)
ER. Bonsoir mes chers amis. J'espère que je ne vous ai pas fait trop
longtemps attendre.
DERIO.- (allant à sa rencontre) Bonsoir, Mauer. Alors Stanzides va
tout à fait bien. Il est au casino, au concert.
R. - Oui, je l'y ai accompagné moi-même.
DÉRIC. - Paul Kreindl était là à l'instant; nous devons y aller aus-
si après le dîner.
A. - Je veux voir si le dîner...
DERIC.- Ecoute. Genia, j'ai une idée... Allons tout de suite au
casino. Je ne sais pas pourquoi, J'ai une grande envie de musi-