A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 104

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GENIA. - (vivement) Depuis quand es-tu là?
FREDERIC. - Je suis arrive depuis dix minutes. (il salue vers le tennis
d'où on l'a remarqué.
Bonsoir, bonsoir..
(A Genia) Je me
suis seulement desaabille.
(A Otto) Je suis très content de vous
trouver encore. Je craignais que vous ne soyez déjà parti à Pola.
ou quelque part en mer.
OTTO.- Je pars demain, M. Hofreiter.
FREDERIC.- Ah oui... demain...? En bien, je descends tout de suite.
(Il disparait du balcon. Otto et Genia en dessous. Ce
qui suit très vite).
OTTO.- Tu ne peux pas rester ici.
GENIA.- Sois raisonnable, Otto.
OTTO.- Maintenant, je le sens, tu n'es pas faite pour mentir. Tu te
trahirais. Ou bien tu avouerais franchement.
GEMIA.- Ce serait bien possible.
OTTO.- (brusquement résolu) Laisse-moi lui parler,
GEMIA.- Quelle idée as-tu!
OTTO.- Oui! C'est la seule chose possible. Tu le sens toiemême. Tout
le reste serait indigne, honteux -
GRNIA. - Je lui dirai moi-même aussitôt que tu seras parti. Demain. Peut
être encore aujourd'hui...
OTTO. - Et qu'arrivera-t-il?
UKnIA.- Rien, vraisemalablement. Et tu ne reviendras plus ici, jamais.
Prömets-le moi... jamais.. dans deux ans non plus.. jmais..
OTTO.- (comme éclaire) Tu l'aimes - tu l'aimes de nouveau!- C'est là
où tu glisses.
(Mme Wahl, Natter, Mme Hatter, Stanzides et Gustave
reviennent du diunis)
ERNA & PAUL-- (continuent de jouer)