A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 19

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Dans ces derniers huité jours j'ai eu ansoigner de nouveau
trois accidents d'automobile.
FREDERIC.- Vraiment, comment va Stahzides?
MAUER.- Très bien, avec une double facture du bras. Il faut précise-
ment que je passe encore chez lui. Il est très impatient de sor¬
tir; et il peut s'estimer heureux d'avoir encore sa tête sur le
cou.
FREDLIC.- Noi aussi, tu l'oublies. J'ai reoemment fait une plissade
de 10 mètres sur la route. Bientôt les compagnies d'assurance
ne voudront plus accerter aucune de mes connaissances.
MAUER.- Tu n'as vraiment pas de chance avec tes amis, comme le faisait
remarquer Erne zahl, il y a une demi-heure.
FRIERIC.- Tiens, Erna est venue
Camia.- Cui, avec sa mère. Elles sont parti s'en compagnie de l'En¬
a-t-elle dans le
seigns de vairse u.
REEVRIC.- Ah. Otto était là aussi 2.... (A Mauer
In 1'as vu 3
MAUER.- Oui.
FRETERIC.- Comment le trouves-tu
garan
ER.- (un peu surpris de la question) C'est un tout à fait charmant
garçon.
curieux
FRELERIC. - C'est résarquible comme il rappelle son père! C' est 10
temt
- en plus terne. Tu ne trouves pas?
MAUER.- C'est possible.... Le Dr voulvigner n'était d'ailleurs pas
Täilleurt
mon type un peu trop poseur pour mon goût.
vala tout.
DERIC.- Il avait seulement du style, On confond souvent le style
et l'affectation. Il y a longtemps que je l'ai vu pour la der¬
nière fois. Sept ans. C'était à mozen. Te le rappelles-tu, Genia
GENIA.- Certainement.
(A Mauer)
Il m'a beaucoup plu.