A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 27

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GENIA.- Qu'est-de qui serait surprenant?
FREDERIO.- Cela aurait presque l'air d'une fuite.
GERIA. - Une fuite? Une juite loin de toi! Je n'en ai réellement pas
besoin. Nous sommes déjà assez loin l'un de l'autre, même ici
sous le même toit! - (silence)
FREDRIC.- Genia! - Maintenant qu'il est mort et enterré M. Alexis
Korsakow....
t vertia.- que lui veux-tu encore?
FREDERIC.- Sois tranquille, mon enfant, sois tranquile!.... Je veux
seulement dire qu'il ne peut plus rien lui arriver maintenant...
Il ne lui serait d'ailleurs rien arrivé non plus s'il était en¬
core de ce monde, pas plus qu'à.toit même... iais tu m'accorderas
que cette séparation entre nous prend un caractère tout à fait
particulier... non, ce n'est pas le mot exact... enfin, je veux
seulement dire que cette conversation que nous avons aujourd'hui,
précisément le jour où on a enterré M. Korsakow, ton attitude
si singulière... Si je suis un ari, Genia, je ne suis pas un
Imbecile. Eh bien, je ettrai ma main au feu qu'il y a quelque
chose là-dessous. Allons, qu'y a-t-il eu entre vous?
CENIA.- J'attends que tu me le dises.
FREDERIC.- Oui, je le vois. sis tn conviendras que ce n'est pas une
réponse. Il faut que tu me comprennes bien, Genia. Il ne s'est
pro�bablement rien pasé entre toi et Korsakow; d'était peut-être
seule en fun flirt. Oui. Car s'il en avait été autrement, il
n'aurait pas eu besoin de se suicider. Ou bien (attendant) il
J a eu davantage - et tu l'as... quitté (Il parle toujours
tranquillement mais il l'a prise par le bras).
GENIA. - (souriant presque) Une scène de jalousie?! - Mais xxx. tu
devrais soigner tes nerfs, Frédéric. Je ne sais pas moi... mais