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ble - voilà chèse madame Genia......
FREDERIC (il vient dans un costume de votre gerie, très animé. Il baise
la main de Mme Meinhold)
Je suis très heureux de pouvoir encore
vous dire au revoir, madame.
Mme MEINHOLD Resterez-vous longtemps?
Je ne sais pas. Cela dépend aussi du besoin qu'on peut avoir
FREDERIC
ici de ma présence, à l'usine je veux dire.
(Du tennis viennent Otto, Paul; Erna, Mme Wahl, Mauer.
Salutation
Bonsoir, maman
OTTO
(il lui baise la main)
Mme MEINHOLD Bonsoir Otto! -
Eh bien, cela s'est bien passé, Paul?
FREDERIC
Ne m'en parlez pas. A partir de demain, je joue de nouveau
PAUL
avec l'entraîneur.
MAUER
Eh bien es -tu prêt?
naturellement - Mesdames, messieurs.... (tous lui tendent la
FREDERlC
main)
Ma chère Genia......
Excusez-moi cher docteur, je vous demande encore mon mari
GENIA
pour quelques minutes.
MAUER
Oh......xxI
(Mauer, Erna, Mme Meinhold, Otto, üme Wahl, Paul
s'éloignent
Tu as encore quelque chose à me dire, Genia?
DREDERIC
Rien de particulier, sinon que je suis un peu é tonnée de ta
CENIA
décision. Je n'avais aucun soupçon que tu partes aujourd'hni.
FREDERIC
Moi non plus, chère enfant,
GENIA
Vraimant tu n'avais pas la moindre id e r
Que ce soit précisément ce soir - absolument pas. Si Mauer
TREDERIO
n'était pas venu par hasard.... Mais je ne t'ai pas caché que