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lesquelles j'ai besoin de Mauer. Des chors et fasse
ERNA.- Du... passé...?
FREDERIC.- Quelle enfant! Une femme légitime ne serait pas plus ourieu-
se. Ce sont du reste des histoires sans intérêt.
ERNA.- Qui te rendent bien nerveux il me semble.
EDERIO. - Tu en as l'impression. Je ne crois pas. Je suis seulement un
peu fatigué par une mauvaise nuit.
RNA.- Comment? Tu as donc voyagé de nuit?
FRED RIC.- Non, mais je n'ai pas beaucoup dor i non plus. Je me suis
promené sous des fenêtres.
ARNA.- Cette nuit?
MRATERIC.-Oui. Cette nuit. Cela t'étonne? Je crois t'avoir dit un cer¬
tain soir... que je comprenais maintenant toutes ces choses - pro¬
menades sous les fenètres, sérénades - assassinat... suicide
Je ne te comprends pas. Sous les fenèetres de qui... t'es-tu
ERNA.
promené...
FREDERIC. Sous les tiennes, naturellement.
ERMA.- Sous les miennes? u'est-ce que tu me racontes là...
FREDERIO.- Tu ne me crois pas? Eh bien, écoutes! Je suis venu hier soir
ici, aussitôt après mon arrivée à Vienne. Il était environ minuit
quand je me suis trouvé sous ta fenêtre. Tu avais encore de la
lumière. J'ai vu glisser ton ombre sur le rideau. Si ta chambre
avait été au rez-de-chaussée... qui sait.
ERNA.- Tu étais sous ma fe être!! - Et alors?
FRENIC.- Alors je suis reparti. J'avais vu ton ombre, j’avais été
près de toi. Je t'avais désirée.
ERNA.- Tu avais... Frederic.! Et on es-tu alle ensuite?
rnⱥDanIC.- Je suis retourne à Vienne. Mon auto avait attendu sur la pla
ce de l'eglise. J'avais d'ailleurs à faire ce matin au bureau, de
bonne heure.
lesquelles j'ai besoin de Mauer. Des chors et fasse
ERNA.- Du... passé...?
FREDERIC.- Quelle enfant! Une femme légitime ne serait pas plus ourieu-
se. Ce sont du reste des histoires sans intérêt.
ERNA.- Qui te rendent bien nerveux il me semble.
EDERIO. - Tu en as l'impression. Je ne crois pas. Je suis seulement un
peu fatigué par une mauvaise nuit.
RNA.- Comment? Tu as donc voyagé de nuit?
FRED RIC.- Non, mais je n'ai pas beaucoup dor i non plus. Je me suis
promené sous des fenêtres.
ARNA.- Cette nuit?
MRATERIC.-Oui. Cette nuit. Cela t'étonne? Je crois t'avoir dit un cer¬
tain soir... que je comprenais maintenant toutes ces choses - pro¬
menades sous les fenètres, sérénades - assassinat... suicide
Je ne te comprends pas. Sous les fenèetres de qui... t'es-tu
ERNA.
promené...
FREDERIC. Sous les tiennes, naturellement.
ERMA.- Sous les miennes? u'est-ce que tu me racontes là...
FREDERIO.- Tu ne me crois pas? Eh bien, écoutes! Je suis venu hier soir
ici, aussitôt après mon arrivée à Vienne. Il était environ minuit
quand je me suis trouvé sous ta fenêtre. Tu avais encore de la
lumière. J'ai vu glisser ton ombre sur le rideau. Si ta chambre
avait été au rez-de-chaussée... qui sait.
ERNA.- Tu étais sous ma fe être!! - Et alors?
FRENIC.- Alors je suis reparti. J'avais vu ton ombre, j’avais été
près de toi. Je t'avais désirée.
ERNA.- Tu avais... Frederic.! Et on es-tu alle ensuite?
rnⱥDanIC.- Je suis retourne à Vienne. Mon auto avait attendu sur la pla
ce de l'eglise. J'avais d'ailleurs à faire ce matin au bureau, de
bonne heure.