109 —
ERNA. - Tu étais sous ma fenêtre!... Fredéric.
FREDERIO.- Pourquoi te raconterai-je de pareilles choses si ce n'était
pas vrai... Sur quoi faut-il te le jurer? Sur le saint lao de
Völs?
ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre...! Mon chéri!
NRE FRIC.- Chut, chut. (Il va vers la porte de la maison).
MAUER. - (sort de la maison) Salut, Frédéric. Bonjour, mademoiselle
Erna.
ARDERIC.- Salut, auer.
ERNA.- (tranquille) Bonjour, docteur.
MAUER. - (tout à fait simplement) Vous êtes de retour depuis longtemps
mademoiselle Erna?
ERNA.- Depuis deux jours... (A Frédéric) Je crois que vous avez à
parler avec le docteur. Au revoir. ( Elle va vers le tennis.)
MAUER. FREDERIC
MUER.- Tu m'as écrit. Je suis venu.
FRE FRIC.- Je te remercie encore une fois d'être venu. J'espère que je
ne t'ai dérangé en rien d'important.
MAUER.- Tu m'écris que tu as besoin de mes conseils. J'ai pense que
tu étais malade.
FREDERIC.- (le regarde) Ah oui! ce n'est pas le médecin que j'ai appe¬
le mais l'ami.
MAUER. - L'ami..K eh bien, je suis là.
racon tar.
FRÈFRIC.- Il s'agit d'un stupide, que tu as peut-être déjà lu
ou dont tu as entendu parler.
MAUER.- Quel racontar?
FREIERIC.- Que Korsakow...
MUER.- Eh bien?
FRELERIC. - Que Korsakow a été la victime d'un duel américain.
ERNA. - Tu étais sous ma fenêtre!... Fredéric.
FREDERIO.- Pourquoi te raconterai-je de pareilles choses si ce n'était
pas vrai... Sur quoi faut-il te le jurer? Sur le saint lao de
Völs?
ERNA.- Tu étais sous ma fenêtre...! Mon chéri!
NRE FRIC.- Chut, chut. (Il va vers la porte de la maison).
MAUER. - (sort de la maison) Salut, Frédéric. Bonjour, mademoiselle
Erna.
ARDERIC.- Salut, auer.
ERNA.- (tranquille) Bonjour, docteur.
MAUER. - (tout à fait simplement) Vous êtes de retour depuis longtemps
mademoiselle Erna?
ERNA.- Depuis deux jours... (A Frédéric) Je crois que vous avez à
parler avec le docteur. Au revoir. ( Elle va vers le tennis.)
MAUER. FREDERIC
MUER.- Tu m'as écrit. Je suis venu.
FRE FRIC.- Je te remercie encore une fois d'être venu. J'espère que je
ne t'ai dérangé en rien d'important.
MAUER.- Tu m'écris que tu as besoin de mes conseils. J'ai pense que
tu étais malade.
FREDERIC.- (le regarde) Ah oui! ce n'est pas le médecin que j'ai appe¬
le mais l'ami.
MAUER. - L'ami..K eh bien, je suis là.
racon tar.
FRÈFRIC.- Il s'agit d'un stupide, que tu as peut-être déjà lu
ou dont tu as entendu parler.
MAUER.- Quel racontar?
FREIERIC.- Que Korsakow...
MUER.- Eh bien?
FRELERIC. - Que Korsakow a été la victime d'un duel américain.