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FREDERIC.- Elle en sera très heureuse.
AUER.- (se dirige vers le tennis).
FREDERIC. NATTER
ETTER.- Je voulais vous demander, mon cher Hofreiter, si je puis vous
parler au bureau demain matin. J'ai beaucoup de choses à vous
dire. Le Consortium dont il, s'agit a de nouveau fait une communi-
cation. On -offre.
R. E.R.I. - A demain les affaires, V. Nattern.
Comme vous voudrez.
FREDERIS. - Aujourd'hui nous amons. bavardons.
T.R. - Volontiers.
RÉCERIC.- Dites-moi matter, coment trouvez-vous Demeter Stanzides?
TER.- Stanzides? - Un homme tout h fait sympathique. Un peu senti¬
mental pour un capitaine de hursards. mais un gentil parçon.
II n'a pas de dertes?
Das que je sache.
G.C.F.P
- Il ne brutalise pas ses subordonnés?
—
D'ATTER.- Je n'ai jamais entendu dire rien de semblable.
FRE.- Il ne triche pas un peu au jeu?
l'ATER.- Croyez-vous cela Hofreiter
diese. - Non. Je veux seulement vous aider à trouver,ouelque chose sur
lui, pour plus tard, quand l'histoire entre lui et votre femme
sera finis.
(Ils se regardent dans les yeux)
de mai
- Je suis heureux de voir que vous ne me prenez pas pour un
imbécile. Hofreiter.
FRED.- Non, mais pour un.
ETER. Je veux vous prévenir avant que vous m'appeliez "coquin". Il
FREDERIC.- Elle en sera très heureuse.
AUER.- (se dirige vers le tennis).
FREDERIC. NATTER
ETTER.- Je voulais vous demander, mon cher Hofreiter, si je puis vous
parler au bureau demain matin. J'ai beaucoup de choses à vous
dire. Le Consortium dont il, s'agit a de nouveau fait une communi-
cation. On -offre.
R. E.R.I. - A demain les affaires, V. Nattern.
Comme vous voudrez.
FREDERIS. - Aujourd'hui nous amons. bavardons.
T.R. - Volontiers.
RÉCERIC.- Dites-moi matter, coment trouvez-vous Demeter Stanzides?
TER.- Stanzides? - Un homme tout h fait sympathique. Un peu senti¬
mental pour un capitaine de hursards. mais un gentil parçon.
II n'a pas de dertes?
Das que je sache.
G.C.F.P
- Il ne brutalise pas ses subordonnés?
—
D'ATTER.- Je n'ai jamais entendu dire rien de semblable.
FRE.- Il ne triche pas un peu au jeu?
l'ATER.- Croyez-vous cela Hofreiter
diese. - Non. Je veux seulement vous aider à trouver,ouelque chose sur
lui, pour plus tard, quand l'histoire entre lui et votre femme
sera finis.
(Ils se regardent dans les yeux)
de mai
- Je suis heureux de voir que vous ne me prenez pas pour un
imbécile. Hofreiter.
FRED.- Non, mais pour un.
ETER. Je veux vous prévenir avant que vous m'appeliez "coquin". Il