:s:d:s
-118-
ne veux pas me battre avec vous. Mais encore un mot et...
FRE. - Je suis donc désarmé, précisément contre vous?
UATTER. - Cela arrive parfois.
FRE. - xx.... contre un...
NATER.- Contre un homme, qui trouve la vie prodigieusement amusante...
mon cher Hofreiter - et seulement amuante.
vient du tennis) - Excusez-moi de vous déranger. H. Hofreiter.-
c'est votre tour de jouer avec le Lieutenant.
G.C.F.P
RIC.- Oui..oui. je suis prêt - La situation doit finale ent
F.D.
être aclaircie... je sais...
R.- Oh. je vous en prie, ne vous mènez pas. (A veix plus basse)
ae
Il n'aait peut-être aussi de vie ouïde mort :
PREDERIC. - Peut-être.
1e7
R à GENIA (viennent de l'arrière)
ue.
(vent rendre congé) lIons,cher nmi.
TRII KORO.- Non, tu ne dois pas partir ainsi. Retiens-le Genia, -
tous tes moyens de séduction.
(Frédéric, Paul et Hatter, vers le tennis)
ÄUER. GEDYA,
Je crains ous mes moyens ne soient pas efficaces.
1:4:
F.T.K.
Je dois malheureusement partir, medame.
CERIA.- Et je puis supposer qu'on ne vous reverra pas ici de longtemps.
MAUER. - Je le crains, madame.
GENIA.- (le regarde) cela me fait de la peine d'avoir perdu un ami.
Moi surtout oui n'ai vraiment rien à me reprocher, au moins
contre vous. Pourquoi ne me répondez-vous pas docteur? Je ne
veux pas forcer votre confiance, d'autant moins que je me doute
de la raison oui vous éloigne d'ici.
-118-
ne veux pas me battre avec vous. Mais encore un mot et...
FRE. - Je suis donc désarmé, précisément contre vous?
UATTER. - Cela arrive parfois.
FRE. - xx.... contre un...
NATER.- Contre un homme, qui trouve la vie prodigieusement amusante...
mon cher Hofreiter - et seulement amuante.
vient du tennis) - Excusez-moi de vous déranger. H. Hofreiter.-
c'est votre tour de jouer avec le Lieutenant.
G.C.F.P
RIC.- Oui..oui. je suis prêt - La situation doit finale ent
F.D.
être aclaircie... je sais...
R.- Oh. je vous en prie, ne vous mènez pas. (A veix plus basse)
ae
Il n'aait peut-être aussi de vie ouïde mort :
PREDERIC. - Peut-être.
1e7
R à GENIA (viennent de l'arrière)
ue.
(vent rendre congé) lIons,cher nmi.
TRII KORO.- Non, tu ne dois pas partir ainsi. Retiens-le Genia, -
tous tes moyens de séduction.
(Frédéric, Paul et Hatter, vers le tennis)
ÄUER. GEDYA,
Je crains ous mes moyens ne soient pas efficaces.
1:4:
F.T.K.
Je dois malheureusement partir, medame.
CERIA.- Et je puis supposer qu'on ne vous reverra pas ici de longtemps.
MAUER. - Je le crains, madame.
GENIA.- (le regarde) cela me fait de la peine d'avoir perdu un ami.
Moi surtout oui n'ai vraiment rien à me reprocher, au moins
contre vous. Pourquoi ne me répondez-vous pas docteur? Je ne
veux pas forcer votre confiance, d'autant moins que je me doute
de la raison oui vous éloigne d'ici.